Manger Bio ou pas?

La question ne devrait même pas se poser, si cela dépendait de nous …

Malheureusement, les agriculteurs qui ne sont pas des prix Nobel de physique, pour sauver leur Revenu, (Où devrais-je dire comme eux leur exploitation), utilisent des pesticides pour éliminer ce que la nature a établi sur l’ordre de son créateur pour maintenir un certain équilibre du système.

Mais l’homme, à peine conscient du magnifique équilibre naturel, invente, innove, élimine des bestioles dont il ne comprend même pas l’utilité.

Et, comme la terre intègre avec l’eau et les éléments naturels un supplément chimique, elle crée des légumes et des fruits modifiés, à l’apparence anodine mais au contenu empoisonné.
Et, ainsi apparaissent de nouvelles maladies, pour tous les mangeurs que nous sommes.
Et, comme il faut pas mal d’années avant qu’apparaissent les symptômes, on doute tout simplement de l’origine évidente du mal.
Et, cela malgré des signes comme la folie des abeilles, la perturbation des animaux voisins aux plantations, la disparition des vers de terre acteurs indirects de l’aération intérieure de la terre, etc…

Comme nous éliminons les araignées nettoyeuse des bestioles de nos maisons, nous éliminons les bestioles mangeuses d’une partie des agricultures par manque de générosité avec la nature qui elle, donne sans compter.

A toujours suivre les marges et la rentabilité, au détriment de la qualité de vie, on va se retrouver bientôt à manger les créations synthétiques de nos laboratoires, qui ne remplaceront jamais les ingrédients naturels extérieurs avec l’action complémentaire du soleil et des composés organiques présents dans la terre.

L’homme doit faire preuve d’humilité, on ne peut pas reproduire en laboratoire ce que des millénaires ont mis en ordre avec une perfection déconcertante (selon l’ordre de son créateur).

C’est à nous consommateur de refuser ce que l’on nous met à disposition pour notre nourriture.
Nous avons le pouvoir de faire plier ces producteurs aveugles bien malgré eux.
Cessons de nous laisser berner par l’emballage et la pub.

Il n’y aura jamais rien de mieux que le naturel.